jeudi, décembre 10, 2009

Apprendre quelque chose tous les jours - coup de pub


Je vous présente aujourd'hui un site au concept vraiment sympa, uniquement en anglais pour le moment, mais qui devrait vite faire des émules dans l'héxagone : Learn Something Every Day ou en français, Apprendre Quelque Chose tous les Jours.

Le principe est simple, un dessin façon gribouillage accompagné de quelques lignes de texte pour illustrer un fait peu connu, anecdotique ou encore une statistique étonnante.

Aussi je vous invite à aller découvir ce site qui fait dorénavant partie de mes favoris.

mercredi, novembre 18, 2009

Pubs CNP Assurances, toujours aussi belles



CNP Assurances mise depuis longtemps sur de beaux films pour transmettre ses messages, sa dernière publicité ne fait pas exception à la règle.
Le dernier opus conçu sur l'idée "si la vie commençait par la fin, on préparerait son futur autrement", présente en ouverture un couple de retraités, qui de cut en cut, rajeunit, ainsi on retrouve toutes les grandes étapes de leur vie jusqu'à la naissance de monsieur, présentée de manière elliptique par un bébé en train de se baigner en pleine mer :)
L'idée est bonne et sympathique, bien que pas totalement neuve, en effet, il est difficile de ne pas penser au film Benjamin Button.
Globalement cette pub est soignée, bien réalisée et toujours parfaitement signée musicalement par la valse n° 2 de Dimitri Chostakovitch (Suite jazz n° 2), dont le taux de mémorisation doit être excellent.
Cependant le message en lui-même est assez complexe et si le principe est clair et devrait aider à le comprendre, ni la brièveté du spot ni l'anachronisme des scènes ne semblent être des atouts, car si les protagonistes rajeunissent, l'évolution à reculons de leur vie se fait parallèlement à un continuum temps normal.
Je m'explique : ils sont vieux pendant le débarquement, se marient dans les années 70, participent à une soirée "mousse" dans les années 80 et le petit garçon roule sur un vélo contemporain.
La lecture et la compréhension du spectateur ne sont pas facilités, ce qui ne l'aide pas à se concentrer sur ce message complexe : "si la vie commençait par la fin, on préparerait son futur autrement".
En conclusion, je salue une jolie pub, mais je pense que la mémorisation du spot et de la marque doivent être perturbés par l'effort demandé pour comprendre les images.

vendredi, novembre 06, 2009

Bernard Moriange, un cadre sup au chômage qui n'a pas dit son dernier mot


Magnifique coup de pub orchestré de main de maitre par un ex directeur marketing, Bernard Mauriange, un quinqua au chômage qui a décidé de mettre toute son expérience au service de sa recherche d'emploi, tout en démontrant son savoir-faire.

Ce cadre sup vient de réaliser un fort joli coup médiatique en faisant sa pub sur un 4 par 3 installé sur un axe fréquenté de la région nantaise.

Le message est sobre, efficace : «Directeur commercial audacieux cherche entreprise même profil»; illustré d'un portrait le représentant en costume cravate, souriant et prêt à relever de nouveaux défis; et accompagné d'un numéro de portable, de l'adresse de son site Web et d'une ligne de remerciements à ses "partenaires".

Les retombées ne se sont pas fait attendre : L'Express, le Figaro, Europe 1, Sud-Ouest, 20 minutes...

La formule n'était pas neuve, mais visiblement elle marche toujours, d'autant que Bernard Mauriange ne s'est pas contenté d'acheter ce 4x3 et d'y coller sa pub pour un mois, en fait, il a développé un véritable mix marketing, où le produit c'est lui : communiqué de presse, site Internet, opération de communication dans le TGV atlantique, bientôt une vidéo sur youtube... cet ex directeur marketing fait parler de lui, et cela, d'une manière particulièrement cohérente avec le poste qu'il recherche.

N'en déplaise aux quelques détracteurs qui trouvent à redire sur les forums Internet, moi je tire mon chapeau au monsieur et j'espère sincèrement que les recruteurs seront aussi nombreux à le contacter, que l'ont été les journalistes.

jeudi, octobre 29, 2009

À votre tour d’être biobblelisé ?

Après le grand boom de la généalogie depuis le milieu des années 80 et son accélération grâce aux nouvelles technologies et notamment à l’Internet, c’est au tour de la biographie d’avoir les faveurs des français. Longtemps réservée aux personnages célèbres et aux grandes familles, le genre s’est largement démocratisé ces dernières années, et l’on trouve pléthore d’offres en provenance de biographes, ou comme on les appelle maintenant, de collecteurs de mémoire.
Malheureusement, cette activité nécessite souvent de longues heures, voir des mois de travail pour mettre au point un livre, forcément onéreux (en moyenne 2500 euros hors frais d’édition) et qui très souvent n’est lu que par 1 ou 2 proches, avant d’être remisé dans une bibliothèque ou un carton.

Heureusement, depuis 2009, une nouvelle sorte de biographes a fait son apparition à la lueur du Web: Les biographes indépendants Biobble VIP, qui se sont fait les champions de la conservation des parcours individuels et de l’histoire des familles. Grâce à des prestations aux tarifs ultra abordables et à leur média de prédilection Internet, exit les livres et leurs coûts prohibitifs, bonjour les portraits virtuels et éternels sur la toile !

Après en moyenne 2 à 6 heures d’entretien en face à face, les biographes biobble VIP se chargent de mettre les mots justes sur la vie de leur client et de publier ce portrait sur Internet au format Biobble.

Une biobble ?
Un site personnel et biographique où l’on retrouve, bien évidemment, une biographie, mais également une interview, des dossiers sur nos passions, nos centres d’intérêt, nos histoires vécues, des anecdotes, des photos et même des vidéos…

Pour quoi faire ?
Pour léguer sa saga personnelle à la postérité ou encore, pour faire consigner par écrit les forcément uniques aventures de ses aïeux afin qu’elles ne sombrent pas dans l’oubli.

Et pour ceux qui craignent pour leur intimité, ces sites peuvent être protégés par un mot de passe, qui permettra de limiter l’accès aux seuls membres de la famille et aux proches.
Il est également possible de choisir une date de publication, si l’on ne tient pas à ce que l’histoire de notre vie soit accessible tant qu’on est encore là, pudeur quand tu nous tiens…

10 fois moins cher qu’une prestation de biographe traditionnel, ces portraits synthétiques révolutionnent le genre et le rende accessible à tout un chacun.

Alexandre Jardel s’en explique : « ce n’est pas le même travail, au lieu de plusieurs dizaines d’heures d’entretien et autant à ré écrire le tout, les biographies Biobble vont à l’essentiel et permettent de laisser un portrait complet et surtout facile à lire à la postérité : Les grandes dates et évènements de notre vie, notre manière de penser, nos expressions favorites…
Le tout à un prix vraiment à la portée de toutes les bourses, notamment celles de familles qui bien que modestes, n’hésitent plus à se cotiser pour immortaliser leur histoire commune, car sans supplément de coût, Biobble offre la conservation perpétuelle de leurs mémoires à tous ceux qui optent pour le service Biobble VIP ».

Si vous voulez en savoir plus sur ces biographes d’un nouveau genre, le « e-moi », et sur Biobble, rendez-vous sur le site de la société Biobble, l’intermédiaire de confiance entre vous et le biographe.

mardi, septembre 29, 2009

Générer des retombées presse pour faire parler d'une entreprise et de ses produits ou services

Biobble reprend la parole après plus d'un an de silence, où nous avons préparé la nouvelle version de notre site Internet. Et comme je dois jongler avec mes différentes casquettes (gérant, responsable recrutement, responsable communication et marketing, responsable RP... j'arrête là, je pense que vous avez compris l'idée), il n'est pas toujours facile de se remettre le pied à l'étrier.

Déjà mes fichiers de contacts datent un peu dans un univers qui se renouvelle en permanence, mais en plus de ça, contrairement au vélo, l'exercice du communiqué de presse et des relances téléphoniques demande un entrainement régulier, pour ne pas baisser les bras au premier :"oui et alors?" / "non ça ne m'intéresse pas" / Monsieur Untel ne collabore plus avec nous"... et la liste est encore plus longue que celle de mes casquettes.

Aussi avant de me relancer dans cette croisade, j'ai pris la peine de faire le tour du Web afin de chercher des petites astuces, conseils, idées et autres subterfuges pour rendre cette activité chrono-phage un peu plus productive.

Voici un petit lien utile vers un blog où vous trouverez une mine de pistes à explorer : Les trucs d'un journaliste pour faire parler de vous dans les médias

jeudi, juillet 02, 2009

Pub Century 21 : Vous connaissez la rue Montagnac ?

Un petit spot de pub pour les agences immobilières Century 21 nous présente deux ados sur un scooter à la recherche de la rue Montagnac. Il fait nuit, il pleut et le conducteur du scooter profite d'un feu rouge pour demander son chemin à un automobiliste.
Malheureusement pour les 2 jeunes, le monsieur bosse chez Century 21 et va leur donner une réponse "immobilière" mais totalement à côté de la plaque, avant de démarrer, très content de lui.



Le message de Century 21 vise à imposer ses collaborateurs comme de grands spécialistes de l'immobilier, du moins de la partie fiscale. De ce point de vue, on peut considérer l'objectif atteint.

En revanche, une autre lecture de cette publicité est que les collaborateurs Century 21 n'ont aucun sens commun; ils sont incapables de comprendre et de répondre à une question simple, et visiblement font totalement abstraction des notions de qualité de vie liées à la situation géographique d'un bien immobilier.

mercredi, mai 27, 2009

Darqroom.com, le grand jeu pour vos images !


Darqroom est la nouvelle coqueluche des amoureux de la photo et Darqroom le leur rend bien! Ce site Internet propose depuis quelques mois une solution haut de gamme pour :
- stocker en illimité ses photos,
- exposer ses images grâce à d'élégantes galeries,
- partager ses images avec ses amis ou d'autres passionnés,
- et enfin, commander des tirages de qualité professionnelle.

Comme je l'ai lu ailleurs sur Internet : Darqroom met la barre très haut dans l'univers des sites de photos !

En effet, la gestion des albums (portfolios) est ultra simple et intuitive, compatible avec les principaux logiciels (lightroom, aperture, iphoto...). Un simple drag and drop suffit et l'opération peut être réalisée sur une photo ou des sélections multiples.

Créer une magnifique galerie n'a jamais été aussi facile, la présentation est impeccable, chic, élégante et intemporelle... pas même une publicité pour venir troubler, voir gâcher le spectacle, elles n'ont pas droit de cité sur Darqroom.

Enfin, le site propose la première solution professionnelle pour obtenir des tirages de très haute qualité à partir de vos fichiers numériques. Via Darqroom, vos clichés ont accès aux meilleures solutions existantes : tirages professionnels ou d'art, digigraphie, choix des supports, expérience des labos partenaires, avec Draqroom, vous offrez l'excellence à vos images...

Alors où le bas blesse t-il ? Le prix ?
Même pas ! Si Darqroom ne peut s'aligner avec les tarifs pratiqués par les services low cost de développement, Darqroom pratique des tarifs ultra compétitifs sur le segment haut de gamme du tirage des images.

En résumé :
Si la perfection n'existe pas, avec Darqroom vous la frôlez de près !

jeudi, mai 21, 2009

Post-it, pour toutes ces petites choses qu'on risque d'oublier !



Je ne sais pas si cette publicité passerait en France, elle serait certainement "retoquée" par le BVP et les Chiennes de garde, mais moi, elle me fait rire.
Simplement.

Ce qui est assez drôle, c'est que pour en avoir parlé lors d'un diner, visiblement tout le monde ne la voit pas du même bout de la lorgnette.
En effet, les femmes présentes et qui connaissaient la pub, ont toutes aussitôt expliqué "c'est une blonde!", sous-entendu : le post-it est pour elle.
Tandis que moi, à l'instar de la gente masculine présente au diner, nous comprenions que c'est l'homme qui avait placé le post-it pour se souvenir du prénom de la fille à côté de laquelle il allait se réveiller.

Bref si on ne prend pas tout au 1er degré, ou pour simplifier, si on a un minimum d'humour, cette pub est juste simple, drôle et efficace.

lundi, avril 27, 2009

Savoir-vivre et bonnes manières sur Facebook



Un petit film manuel de savoir-vivre à destination des utilisateurs de Facebook,
l'electric friendship generator
. Pas compliqué, mais efficace... je vous laisse juger par vous-même.

Les 5 grandes règles à respecter sur Facebook :

Règle n°1 : Ne pas changer sa situation amoureuse sans en avoir préalablement averti son partenaire.

Règle n°2 : Ne pas poster de photos embarrassantes des autres

Règle n°3 : Attention aux informations potentiellement privées ou intimes que vous postez sur le mur des autres

Règle n°4 : Ne volez pas les amis de vos amis

Règle n°5 : Ne créez pas de groupe pour nuire à autrui

En résumé, ayez de bonnes manières électroniques !

samedi, avril 25, 2009

La nouvelle toyota Yaris... FABRIQUÉE EN FRANCE !



Période de crise oblige, les marques n'ont pas tardé à rebondir sur le sujet.
Un exemple parmi d'autres : Toyota qui martèle en fin de pub un nouvel argument publicitaire qui peut faire mouche : Fabriquée en France !

Et oui, quand il n'y a plus un JT sans que l'on nous annonce des licenciements,
des fermetures de sites et des délocalisations, Toyota nous propose de faire un achat qui a du sens : Acheter une voiture japonaise, mais assemblée en France.

À une époque où le protectionnisme n'est plus une option possible,
liberté du commerce et des échanges obligent, la seule parade face aux délocalisations
et à la menace du chômage, pourrait être de pousser le consommateur hexagonal à consommer national.

Il semblerait qu'il faille dorénavant intégrer un nouveau réflexe d'achat à ceux du consommer durable et écologique, celui du consommer un produit créateur d'emploi.

vendredi, avril 24, 2009

Coup de pub : Le distributeur automatique... d'albums photos


KIS lance une nouvelle machine révolutionnaire, le Photobook Maker, qui va enfin permettre de réaliser soi-même un album photo, très simplement et très rapidement.
En plus, c’est une solution plutôt économique puisque cela commence à 14,90 € TTC.

Comment ça marche ?
1° On met sa carte mémoire avec ses photos dans la machine
2° On choisit les photos qu'on veut avoir dans l’album
3° Le Photobook Maker fait le reste ! On "récolte" un superbe album photo qui tombe comme une cannette de coca dans un distributeur de boisson, en moins de 8 minutes !

Tellement simple que c'en est presque magique !


Petit cocorico en prime : Le Photobook Maker est fabriquée à Grenoble, c’est une innovation française qu'on devrait bientôt retrouver aux 4 coins du monde.


Vous voulez essayer le distributeur automatique d'albums photos avant tout le monde ?
Les trois premières machines Photobook Maker vont être installée la semaine prochaine à Grenoble et Saint Martin d’Hères.

- Lundi 27 avril au Géant Casino de Saint Martin d’Hères.

- Mardi 28 avril à la Fnac Victor Hugo de Grenoble,

- Mercredi 29 avril la Fnac de Grand Place


Voilà une excellente idée pour faire plaisir sans se ruiner !
Certainement le futur cadeau vedette pour la fête des mères, la fêtes des mamies,
pour un anniversaire ou juste pour ses photos de vacances.

mercredi, avril 22, 2009

Publicité mensongère sur Facebook


Houuuuuuuuuuu c'est vilain !
Je viens de surprendre une application tierce hébergée sur Facebook en flagrant délit de mensonge. C'est moche ! Et comme d'hab*, il s'agit d'une publicité pour les sonneries de téléphone portable.

Mais comment puis-je être si péremptoire et affirmer que cette publicité est une publicité mensongère ? Tout simplement parce que "Charlotte", c'est ma femme !

Vous me direz : "mais elle a peut-être téléchargé une sonnerie sans te le dire !?"
Ce à quoi je répondrais : "Non, car Charlotte n'a pas de téléphone portable!"

Alors bravo au responsable "marketing & foutage de gueule" de cette application, l'idée
était bonne, effectivement...
Qui irait vérifier si son ami a bel et bien téléchargé une sonnerie ? Qui plus est, une sonnerie même pas nommée! Genre, "hé Charlotte, c'est vrai que t'as téléchargé une sonnerie ?". Aucune chance!

En revanche, il y en a peut-être quelques uns qui se diront "si ils l'ont fait, pourquoi pas moi ?!"

Et il en reste que c'est vilain de faire de la publicité mensongère, qui plus est, quand on utilise à leur insu nos amis facebook !

jeudi, avril 09, 2009

Coup de pub : Offrir une Shii

Les mauvais coucheurs pourront certes arguer que c'est un peu facile, perso, j'adore cette vidéo pour la Shii (comprenez Wii pour les femmes). Si ça ne vous fait pas rire, c'est que vous n'avez pas compris :)

jeudi, février 26, 2009

La scientologie fait sa pub sur adsense, en catimini ?

Pour je ne sais quelle raison, Google Adsense affiche en ce moment des publicités en anglais sur l'interface française de Biobble.
C'est ainsi que j'ai découvert que nous avions des publicités pour la Scientologie (Plus exactement, pour le Youtube Scientology Video Channel)sur notre site. Souhaitant éviter toute forme de polémique, j'ai demandé à Google de ne plus afficher les publicités de cet annonceur sur biobble.com

Vous verrez ci-dessous la publicité en question :


Avez-vous remarqué quelque chose ? Non ? Vous êtes sur ?

Voici une autre publicité diffusée par Google :



Et là, vous voyez la différence ? Non ?

Si jamais vous n'avez pas trouvé, je vous aide un peu : sur celle pour la scientologie, contrairement à la très grande (voire écrasante) majorité des autres publicités gérées par Google, on ne peut pas lire la signature "ads by google"! Bizarre, non ?

Si le sujet vous intrigue et que vous maitrisez l'anglais, je vous invite à lire cet article : http://blogoscoped.com/archive/2008-04-25-n49.html

Mais ça ne me dit toujours pas pourquoi j'ai des pubs en anglais sur un site en français... du moins sur la partie française du site !?

lundi, février 02, 2009

Un concept vraiment génial !

Dans l'interview biobble, nous avons une question où l'on demande à nos membres quelle serait l'invention susceptible de changer le prochain millénaire. La réponse qui revient le plus souvent, c'est la téléportation.

Mais je suis sur, qu'après avoir visionné cette vidéo, vous classerez celle-là dans le top 3 des inventions qui pourrait changer notre vie !



Remarque : J'ai reçu cette vidéo par email et je n'ai aucun moyen d'en retrouver la source, aussi si sa diffusion sur ce blog dérange ses auteurs, elle sera supprimée sur simple demande.

Une sacré pub et un fantastique concept qui va en séduire plus d'un !



Un chouette réfrigérateur, non ?
Une publicité efficace ? Oui parce qu'elle est drôle et que le concept fait rêver
Une publicité loi Évin compatible ? À mon humble avis de non juriste et même si je pense qu'un juriste me contredira, oui, car la consommation d'alcool n'est pas mise en scène.
Une publicité qu'on verra en France ? Surement pas, cf Loi Évin...
Mais le concept mériterait d'être repris pour un autre produit :)

jeudi, janvier 29, 2009

Doit-on avoir peur du grand méchant Web ? (cf Portrait Google de Marc L par Le Tigre)

En décembre, le petit monde de l'Internet français, les médias et les internautes étaient en émoi, suite à la publication d'un "portrait Google" par Le Tigre, un "Curieux Journal Curieux" qui propose des articles hors des sentiers battus et qui fleure bon l'esprit "poil à gratter" de feu Actuel.

Cet article a déclenché une tempête médiatique et ranimé la peur latente du grand méchant Web... Avant de le commenter, ou plutôt ses conséquences sur la stratégie de communication de Biobble, et pour ne pas parler dans le vide, je vous invite à le lire ci-dessous :

Remarque préalable : je vous invite à aller découvrir ce journal gratuitement sur Internet, puis si comme je l'espère, le ton vous plait et les sujets vous rafraichissent, à aller l'acheter en librairie ou en kiosque, voir à vous abonner, car leur liberté de ton rime avec cohérence et intégrité, aussi vous ne trouverez pas de pub dans ce canard... et donc forcément pour que la boutique tourne, il faut des gens pour l'acheter avant de le lire.


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L'article du tigre : Le portrait Google (reproduit en licence copyleft)
N.B. du 15 janvier 2009, 16h30, précisé le 21 janvier.

Le Tigre a décidé de ne pas participer à l’emballement médiatique qui a suivi la découverte de cet article par les médias - emballement médiatique propice à de nombreux raccourcis, dont le plus grave nous semble être la confusion entre la démarche même de l’article et l’intérêt des journalistes pour la personne concernée par l’article (Marc L. étant son double de fiction). Le Tigre reviendra dans son prochain numéro (mars-avril 2009) sur la façon dont s’est construit cet effet boule de neige...

Le Tigre se réjouit par ailleurs d’avoir pointé le doigt sur les risques de la confusion vie privée/vie publique dans l’usage d’internet, risques que la CNIL signalait depuis longtemps.

Le Tigre rappelle aussi que cet article de deux pages a été publié dans le volume 28 du Tigre qui comportait, par ailleurs, vingt pages d’un dossier consacré aux Rroms.


Bon annniversaire, Marc. Le 5 décembre 2008, tu fêteras tes vingt-neuf ans. Tu permets qu’on se tutoie, Marc ? Tu ne me connais pas, c’est vrai. Mais moi, je te connais très bien. C’est sur toi qu’est tombée la (mal)chance d’être le premier portrait Google du Tigre. Une rubrique toute simple : on prend un anonyme et on raconte sa vie grâce à toutes les traces qu’il a laissées, volontairement ou non sur Internet. Comment ça, un message se cache derrière l’idée de cette rubrique ? Évidemment : l’idée qu’on ne fait pas vraiment attention aux informations privées disponibles sur Internet, et que, une fois synthétisées, elles prennent soudain un relief inquiétant. Mais sache que j’ai plongé dans ta vie sans arrière-pensée : j’adore rencontrer des inconnus. Je préfère te prévenir : ce sera violemment impudique, à l’opposé de tout ce qu’on défend dans Le Tigre. Mais c’est pour la bonne cause ; et puis, après tout, c’est de ta faute : tu n’avais qu’à faire attention.

J’ai eu un peu peur, au début, d’avoir un problème de source. Pas par manque : par trop-plein. À cause des homonymes : il y a au moins cinq autres Marc L*** sur le site Copains d’avant. Mais tu n’y es pas : ce doit être une affaire de génération, à la fin des années 1990 et au début des années 2000, les gens s’inscrivaient massivement sur Copains d’avant et renseignait leur parcours scolaire, pour retrouver les copains du CM1. C’était avant Facebook. Ah, Facebook... Mais n’allons pas trop vite. Je t’ai rencontré, cher Marc, sur Flickr, cette immense banque d’images qui permet de partager ses photos avec ses amis (une fonction que Facebook s’est empressé de copier, soit dit en passant). Pour trouver un inconnu dont je ferai le portrait, j’ai tapé « voyage » avec l’idée de tomber directement sur un bon « client » comme disent les journalistes, puisque capable de poster ses photos de voyages. Je t’ai vite trouvé : il faut dire que tu aimes bien Flickr, où tu as posté plus de dix-sept mille photos en moins de deux ans. Forcément, j’avais des chances d’y trouver tes photos.

Alors, Marc. Belle gueule, les cheveux mi-longs, le visage fin et de grands yeux curieux. Je parle de la photo prise au Starbuck’s Café de Montréal, lors de ton voyage au Canada, avec Helena et Jose, le 5 août 2008. La soirée avait l’air sympa, comme d’ailleurs tout le week-end que vous avez passé à Vancouver. J’aime particulièrement cette série, parce que Jose a fait des photos, et ça me permet de te voir plus souvent. Vous avez loué un scooter, vous êtes allés au bord de la mer, mais vous ne vous êtes pas baignés, juste traîné sur la plage. En tout, tu as passé un mois au Canada. Au début tu étais seul, à l’hôtel Central, à Montréal (série de photos « autour de mon hôtel »). Tu étais là-bas pour le travail. Le travail ? Tu es assistant au « service d’architecture intérieur », dans un gros cabinet d’architectes, LBA, depuis septembre dernier (Facebook, rubrique Profil). Le cabinet a des succursales dans plusieurs villes, et a priori tu dois travailler dans la succursale de Pessac, dans la banlieue de Bordeaux. Ça, je l’ai trouvé par déduction, vu que tu traînes souvent à l’Utopia (cinéma et café bordelais) ou à Arcachon. Donc à Montréal, tu étais dans un bureau avec Steven, Philipp, Peter, en train de travailler sur des plans d’architectes, devant deux ordinateurs, un fixe et un portable. En agrandissant la photo, on peut même voir que tu avais un portable Packard-Bell et que tu utilisais des pages de brouillon comme tapis de souris. Je n’ai pas dit que c’était passionnant, j’ai dit qu’on pouvait le voir. Le 21 août, c’est Steven qui t’a accompagné à l’aéroport. Retour en France, où t’attendait un mariage (Juliette et Dominique), puis, la semaine suivante, le baptême de ta nièce, Lola, la petite sœur de Luc (qui fait des têtes rigolotes avec ses grosses lunettes), à Libourne.

Revenons à toi. Tu es célibataire et hétérosexuel (Facebook). Au printemps 2008, tu as eu une histoire avec Claudia R***, qui travaille au Centre culturel franco-autrichien de Bordeaux (je ne l’ai pas retrouvée tout de suite, à cause du caractère ü qu’il faut écrire ue pour Google). En tout cas, je confirme, elle est charmante, petits seins, cheveux courts, jolies jambes. Tu nous donnes l’adresse de ses parents, boulevard V*** à Bordeaux. Vous avez joué aux boules à Arcachon, et il y avait aussi Lukas T***, qui est le collègue de Claudia au Centre Culturel. Fin mai, il n’y a que quatre photos, anodines, de ton passage dans le petit appartement de Claudia (comme si tu voulais nous cacher quelque chose) et une autre, quelques jours plus tard, plus révélatrice, prise par Claudia elle-même, chez elle : on reconnaît son lit, et c’est toi qui es couché dessus. Habillé, tout de même. Sur une autre, tu te brosses les dents. C’est le 31 mai : deux jours plus tôt, vous étiez chez Lukas « pour fêter les sous de la CAF » (une fête assez sage, mais Lukas s’est mis au piano pour chanter des chansons en allemand, tout le monde a bien ri, vidéo sur Flickr). Ce 31 mai, vous avez une façon de vous enlacer qui ne laisse que peu de doutes. Et le 22 juin, cette fois c’est sûr, vous vous tenez par la main lors d’une petite promenade au Cap-Ferret. C’est la dernière fois que j’ai eu des nouvelles de Claudia. Note bien que j’ai son numéro au travail (offre d’emploi pour un poste d’assistant pédagogique au Centre culturel, elle s’occupe du recrutement), je pourrais l’appeler. Mais pour raconter une séparation, même Internet a des limites. Avant Claudia, tu étais avec Jennifer (ça a duré au moins deux ans), qui s’intéressait à l’art contemporain (vous avez visité ensemble Beaubourg puis tu l’as emmenée au concert de Madonna à Bercy). Elle a habité successivement Angers puis Metz, son chat s’appelle Lula, et, physiquement, elle a un peu le même genre que Claudia. À l’été 2006, vous êtes partis dans un camping à Pornic, dans une Golf blanche. La côte Atlantique, puis la Bretagne intérieure. Tu avais les cheveux courts, à l’époque, ça t’allait moins bien.

On n’a pas parlé de musique. À la fin des années 1990, tu as participé au groupe Punk, à l’époque où tu habitais Mérignac (à quelques kilomètres de Bordeaux). Il reste quelques traces de son existence, sur ton Flicker bien sûr mais aussi dans les archives Google de la presse locale. Tu sais quoi ? C’est là que j’ai trouvé ton numéro de portable : 06 83 36 ** **. Je voulais vérifier si tu avais gardé le même numéro depuis 2002. Je t’ai appelé, tu as dit : « Allô ? », j’ai dit : « Marc ? », tu as dit : « C’est qui ? », j’ai raccroché. Voilà : j’ai ton portable. L’article disait : « Pour les Punk, l’année 2001 a été révélatrice. Leader du premier concours rock, ils sont pris en charge par l’association bordelaise Domino, qui propose, pour une formation, un accompagnement de groupes de musiques actuelles. Devant plus de 700 spectateurs, ils se sont produits également à l’Olympia d’Arcachon pour un grand concert. » Mais 2002 semble être la dernière année d’existence du groupe - on imagine comment tout ça s’est fini, tu es parti à Montpellier à l’université (Facebook, rubrique Formation), les autres ont sans doute continué leurs études ici ou là... Mais tu vois, il ne faut jamais désespérer, parce qu’avec Michel M***, le guitariste, vous avez joué à nouveau, le 19 juin 2007 au Café Maritime, à Bordeaux. Il y a une petite vidéo où je t’ai entendu chanter, rien de transcendantal mais enfin c’est honnête. Et puis avec Dom, vous vous êtes remis à jouer ensemble, puisque dans les rues de Nantes, lors de la fête de la musique 2008, vous avez fait un spectacle, spectacle que vous aviez répété la veille chez lui et sa copine, Carine T***. Dom, c’est Dominique F***, il est thésard à Bordeaux III. Beau sujet, « Ni là-bas ni ici », une sociologie de la fin de vie des migrants. Tiens, bizarrement c’est en faisant des recherches sur lui que j’ai découvert que tu avais aussi une page sur YouTube, pour les vidéos. Et que, début 2008, tu étais en Italie (jusqu’au 27 mars, où tu filmes ton retour à Bordeaux dans un marché couvert). J’avoue manquer d’informations sur ce que tu faisais à Rome : sans doute pour du travail, parce qu’on voit que tu es installé avec ton ordinateur dans un appartement (belle vue, au demeurant). Tu as fait la fête avec Philippe S***, et chanté le jour de la Saint-Valentin au Gep Wine bar.

J’ai triché, une fois : pour avoir accès à ton profil Facebook (ce qui m’a bien aidé pour la suite), j’ai créé un faux profil et je t’ai proposé de devenir mon « ami ». Méfiant, tu n’as pas dit « oui », à la différence de Helena C*** dont j’ai pu admirer le « mur », là où tout le monde laisse des petits messages. Mais tu m’as répondu. En anglais, bizarrement : « Hi Who are you ? Regards Marc » Je m’apprêtais à inventer un gros mensonge, comme quoi j’étais fan de Vancouver et que j’avais beaucoup aimé tes photos de là-bas, mais au moment de te répondre, Facebook m’a prévenu : « Si vous envoyez un message à Marc L***, vous lui donnez la permission de voir votre liste d’amis, ainsi que vos informations de base, de travail et d’éducation pour un mois. » Je me suis dit que la réciproque était vraie, et je n’ai donc pas eu besoin de te répondre pour avoir accès aux informations de base. Au passage, j’ai découvert que Facebook propose une solution pour éviter les captcha, les petits textes à taper pour prouver qu’on n’est pas un robot : c’est très simple, il suffit de donner son numéro de portable au site pour qu’il vérifie qu’on existe vraiment. Et voilà : il restait une dernière information que Facebook n’avait pas, dépêchons-nous de la lui donner.

Je pense à l’année 1998, il y a dix ans, quand tout le monde fantasmait déjà sur la puissance d’Internet. Le Marc L*** de l’époque, je n’aurais sans doute rien ou presque rien trouvé sur lui. Là, Marc, j’ai trouvé tout ce que je voulais sur toi. J’imagine ton quotidien, ta vie de jeune salarié futur architecte d’intérieur, ton plaisir encore à faire de la musique avec tes potes à Bordeaux, tes voyages à l’autre bout du monde, ta future petite copine (je parie qu’elle aura les cheveux courts). Mais il me manque une chose : ton adresse. Dans ces temps dématérialisés, où mails et téléphones portables tiennent lieu de domiciliation, ça me pose un petit problème : comment je fais pour t’envoyer Le Tigre ? Je sais que tu es avenue F***, mais il me manque le numéro, et tu n’es pas dans les pages jaunes. Cela dit, je peux m’en passer. Il suffit que je ne te l’envoie pas, ton portrait : après tout, tu la connais déjà, ta vie.

***

À la demande de l’intéressé, ce texte a été entièrement anonymisé et modifié (villes, prénoms, lieux, etc.) à la différence de la version parue dans Le Tigre en papier, dont seuls les noms propres des personnes citées étaient anonymisés. En revanche, ce travail d’adaptation n’enlève en rien le fait que toutes les informations citées sont véridiques et étaient librement accessibles.


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À titre personnel, "je dirais beaucoup de bruit pour pas grand chose"... comme le dit si bien Le Tigre, Marc L ne peut s'en prendre qu'à lui-même, il a divulgué ces informations sur des espaces publics et non protégés d'Internet.
Pourquoi est-ce que je dis ça ? parce que c'est la vérité et même si l'évènement ne peut être ignoré, il n'est pas utile de continuer à alimenter la tempête dans un verre d'eau.

Quels seront les messages de Biobble suite à l'évènement ?
Comment notre communication va t'elle se trouver altérée par cet épisode ?

1° No big deal, pas de dramatisation ! La peur numéro 1 des internautes, c'est leurs informations bancaires, or apparemment celles-là sont bien en sécurité sur Internet... Sauf bien entendu si le grand méchant hacker décide de s'en prendre à vous... mais à priori, il préfèrera pirater les comptes de Bernard Madoff ! Donc pas de communication de crise, un billet sur mon autre blog, "Créateur d'entreprise" pour relativiser l'affaire point par point.

2° Nous communiquions déjà sur le fait que Biobble permet de maitriser son image sur Internet et nous allons continuer ! Grâce à leur excellent référencement les sites personnels de nos membres apparaissent en tête des résultats des moteurs de recherche sur Google. Et comme le sujet est le rédacteur (ou possède un total contrôle éditorial), les seuls messages véhiculés sont qu'il a choisi. D'autant que le fait de refuser de s'inscrire sur tout site communautaire ou d'y surrpimer ses profils ne peut nous prémunir contre le fait qu'un des nos "amis" publient des infos ou photos "sensibles".

3° Nous allons renforcer la communication sur 2 services que Biobble propose depuis la première heure :
- La protection par mot de passe soit de la biobble entière, si elle n'est destinée qu'aux proches et à la famille, soit de certains éléments qui ne doivent être partagés qu'avec un nombre restreint de personnes. Ce qui est une nouvelle feature du site : Dorénavant, on peut protéger indépendamment du reste, un dossier ou une photo. Très pratique pour les photos de "réveillon et autres fêtes potentiellement arrosées" ou pour laisser un testament ou des informations sensibles en ligne.
- La diffusion programmée qui permet de publier sa biographie à la date de son choix. Ainsi si l'on veut laisser une trace derrière soi, on peut décider que sa biographie et son site personnel ne seront accessible au public internaute qu'à partir d'une date choisie et programmée à l'avance.

lundi, janvier 26, 2009

Communiquer en BtoB, pourquoi ?

Tivipro.tv, vous ne connaissez peut-être pas, car c'est une chaine télé Internet dédiée aux professionnels, aux journalistes et aux institutionnels.

Vous pouvez y découvrir des interviews de chefs d'entreprise, d'élus locaux et nationaux, mais aussi de responsables politiques.

J'y ai réalisé une interview, il y a 10 jours et elle est disponible dès aujourd'hui à cette adresse : Interview à propos de Biobble sur Tivipro

L'audience de la chaine est résolument business et professionnelle, donc c'est vrai qu'il est vain d'espérer y convaincre le grand public.

Mais alors, quel est l'intérêt d'une société dont les clients sont "grand public" d'aller communiquer sur ce type de média ?

1ere règle : Toute opportunité de communication est bonne à prendre, il faut gagner en permanence en visibilité, surtout quand on a pas de gros budgets publicitaires.

2e règle pour une communication efficace : Il faut adapter son message à son auditoire : Biobble a aussi des messages à faire passer aux entreprises, aux politiques et aux journalistes (cf 3°, 4° et 5°)

3° Messages vers les entreprises :
- Biobble cherche des partenariats et c'était une occasion de le rappeler !
Nous sommes prêt à faire des échanges de visibilité, des échanges de liens, mais également à vendre nos espaces publicitaires. Rappelons que notre site est visité par 20 à 30 000 personnes tous les mois et que ce chiffre est en augmentation constante ! - De plus, Bobble constitue un cadeau d'entreprise différent, unique et fort : Que ce soit pour un employé ou un partenaire, offrir une biobble à quelqu'un, c'est reconnaitre sa valeur et sa singularité !

4° Message vers les journalistes : Biobble n'a pas le budget communication de Coca-Cola ou d'un déodorant Axe. On ne peut donc pas se payer de spots publicitaires sur les chaines de télé ni même en pleines pages de magazines à fort tirage. Aussi nous devons générer un maximum de rédactionnels pour accroitre notre visibilité, d'où l'importance vitale de ces retombées presse ; et fort heureusement pour Biobble, son activité s'y prête et permet de générer des articles sous de très nombreux angles d'attaque ! Cf la revue de presse de Biobble)

5° Message vers les politiques : Je n'ai pas renoncé à l'idée que le ministère de la culture pourrait nous donner un petit coup de pouce sous la forme d'un parrainage. D'autant qu'à l'époque de Renaud Donnedieu de Vabre, le conseiller technique, qui nous avait reçu à sa demande, semblait enthousiasmé par le projet et prêt à donner du corps à ce partenariat. Malheureusement avec l'arrivée de madame Albanel, et l'emploi du temps certainement chargé d'un ministre qui entre en fonction, ce projet en cours datant de son prédécesseur a été botté en touche un peu arbitrairement, ou du moins, sans bénéficier d'une grande attention.
Mais je reste persuadé que si madame la ministre voulait bien étudier la question, ne serait-ce qu'un instant, elle conviendrait que Biobble est une initiative française intéressante. Et que son projet pour conserver perpétuellement les mémoires individuelles de tout un chacun, constitue un défi qui a du sens dans la patrie des droits de l'homme. D'autant que ce projet est, rappelons-le, unique au monde sous cette forme et que la France n'a pas de raisons de ne pas soutenir gratuitement des projets innovants dans le numérique !

6° Et pour finir, n'oublions pas que derrière chaque professionnel, il y a un homme ou une femme avec son histoire unique, ses parents, ses grands-parents, son histoire familiale... Le sujet peut donc les intéresser à titre personnel ou pour un cadeau au même titre que chaque être humain.

Voici donc les objectifs de communication qu'une société dédiée au grand public peut véhiculer lorsqu'elle prend la parole sur un média BtoB.

Retrouvez ci-dessous cette interview :



NB : à la fin de l'interview, je fais référence à une période difficile, il s'agit des sombres perspectives pour la conjoncture mondiale en 2009.

vendredi, janvier 23, 2009

Co-branding publicitaire pour la bière : Un peu borderline, non ?



Voici un petit jeu ludique trouvé sur le net : le jeu de la tireuse

Le principe : Vous devez verser un "demi" parfait avec une tireuse.
L'auteur du jeu, qui n'est pas forcément le Webmaster du site a eu la délicate
attention de conserver les marques sur la tireuse (modèle personnel) et sur le verre de bière, respectivement Krups et Heineken.

Communication, oui, bonne com, pas forcément...

D'expérience, si la bière est présentée dans un cadre ludique, cela peut être considéré comme de l'incitation à la consommation d'alcool, et l'on peut ainsi considérer que ce jeu est en conflit avec les textes de loi. (Evin)

Aussi le responsable de la marque aurait peut-être du demander à ce que celle-ci soit masquée... Mais il pourra plaider qu'il n'en avait pas connaissance... Dommage qu'il ne fasse pas plus de veille ni personne dans son service...

D'autant que sur cette page que vous rejoindrez d'un clic (en utilisant le lien ci-dessus et comme j'y suis moi-même arrivé via un forward), aucun message rappelant que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé" n'est visible, contrairement aux autres pages du site 1001-bieres.com.
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